Bonjour Pascal,

Toujours du même auteur, si tu ne l’as pas encore lu, https://www.babelio.com/livres/Rodrigues-dos-Santos-La-cle-de-Salomon/584205 :

La meilleure vulgarisation scientifique que j’ai eu entre les mains pour comprendre les implications profondes (mises de côté depuis le congrès de solvay en 1927) inscrites au coeur de la mécanique quantique, en ce qui concerne la nature de notre réalité.

Et puis comme d’habitude, l’auteur est d’un généreux débordant et aborde autant de thèmes pertinents:

• La conscience
• La nature de la réalité
• Histoire de la physique quantique
• Théorie de l’information en physique quantique /
  
  l’information des particules
• Et tant d’autres…

Bien sûr, à la fin, une longue liste de références scientifiques bien cossue, et un texte décrivant le déroulement de cette «enquête» extraordinaire.

Nous sommes à un moment épistémologique important où la physique, la conscience, semblent être entremêlées de manière irrémédiable, où un plan d’information plus large que celui accessible par le biais de nos 5 sens semble désormais indéniable.

Et si les chamanes, les yogis, et les grands mystiques de ce monde avaient déjà tout compris, et que nous, «grands» occidentaux, «êtres supérieurs» n’étaient voués qu’à l’ignorance, dans nos voies de garages modernes, en ne pratiquant que la croyance aveugle d’une science physique qui «semble» à peine se réveiller à l’aube de la destruction dont sa propre vision même, dites matérialiste, en est directement responsable?

Les occidentaux aimeraient-ils cultiver l’ignorance?

Il est grand temps de concilier la connaissance ancestrale avec la science moderne afin que toute l’espèce humaine soit positivement impactée par un changement drastique de vision sur le monde.

En effet, une philosophie matérialiste dépourvue de spiritualité (qui se distingue totalement du dogme des religions) laisse place à toutes les dérivés capitalistes sauvages.

Il est temps de mettre nos différences de côté, de se rebrousser les manches et de se mettre au travail.

Tant que nous resterons divisés par le biais des étiquettes que nous collons aux autres, nous ne pourrons faire face collectivement aux défis qui nous attendent en tant qu’espèce et qui donc nous concernent tous.