L’ascension du papillon
“Une fois sortie de l’œuf, la chenille a pour seule mission de se préparer à sa métamorphose en papillon, donc, elle doit constamment grossir en se nourrissant tout en évitant les prédateurs qu’ils l’entourent, et pour ce faire, la nature a offert aux chenilles des moyens défensifs propres à leur espèce d’origine (mimétisme, épines urticantes…). Il faut savoir que la chenille s’arrête de manger un jour avant chaque mue et une fois sa nouvelle peau formée, elle recommence de plus belle jusqu’à la taille adulte. Elle devra connaître 4 à 5 mues avant la chrysalide et la durée avant celle-ci varie de quelques semaines à plusieurs mois et selon certains cas à des années.”
En ce moment même, dans chacun de nos corps, il existe des milliards de cellules souches, des cellules embryonnaires conçues pour réparer ou remplacer les tissus et organes endommagés. Cependant, l’activité et le devenir de ces cellules régénératrices sont contrôlés par voie épigénétique. Cela signifie qu’ils sont profondément influencés par nos pensées et nos perceptions de l’environnement. Ainsi, nos croyances sur le vieillissement peuvent soit interférer avec la fonction des cellules souches, soit l’améliorer, entraînant notre régénération ou notre déclin physiologique.(voir vidéo)
Dans le chapitre 2 du livre “La biologie des croyances”, j’expose l’évidence scientifique que les gènes ne contrôlent pas notre biologie. J’y ai inclus une introduction sur les découvertes merveilleuses de l’épigénétique, un nouveau domaine de la biologie qui met à la lumière du jour les mystères de l’influence de l’environnement (la nature) sur le comportement des cellules, sans modifier leur code génétique.
— Bruce Lipton, PhD, biologiste, enseignant, chercheur en microbiologie (cellules souches)
Toute mort avant 120 ans est prématurée (voir vidéo) — Dr. Frédéric Saldmann
Ceci est le titre d’une pièce de théâtre dont le scénario mettra en scène les dernières trouvailles scientifiques autour de l’épigénétique, les neurosciences, et l’évolution de l’espèce humaine qui se fera grâce au biomimétisme, prenant pour modèle de fonctionnement celui du corps humain. Le processus de transformation de cette civilisation prendra pour forme la métaphore de la métamorphose de la chenille en papillon…
Avantages de la pièce de théâtre
- adaptée au public Français
- permet d’insuffler cette évolution des consciences à un niveau local et dans toute la France (et pays francophones par la suite)
- des sessions de questions réponses peuvent se faire en fin de représentation donnant lieu à des conférences + ateliers pratiques ultérieurs pour approfondir et accompagner cette métamorphose
“Arrivée à l’âge adulte, la chenille arrête de s’alimenter et elle est soudainement prise de colique, cette phase de nettoyage est obligatoire avant sa métamorphose, et en même temps, elle doit chercher un lieu sécurisé pour procéder à la nymphose. La chrysalide peut durer de plusieurs jours à plusieurs mois, et même sur plusieurs années. À l’intérieur de la chrysalide, il se passe une liquéfaction de certains tissus et ensuite une réorganisation des organes, le cerveau grossit… jusqu’à l’émergence du papillon.
Dans ce processus, rien n’est magique, les organes du papillon sont déjà présents dans le corps de la chenille sous forme de petits bourgeons. La chenille bloque l’évolution de ces bourgeons à l’aide d’une hormone et quand la chenille se transforme en chrysalide, elle cesse de la produire, et à ce moment-là, les minuscules bourgeons peuvent métamorphoser la chenille en papillon.”
L’être humain a été explosé; d’un côté le mental, et de l’autre la matière. Or dans notre société dites cartésienne, nous nous accordons à dire que le stress engendre des maladies physiques puis la mort. Pourtant nous n’arrivons pas à nous convaincre que le bonheur apporte la pleine santé ainsi que la longévité. Il va donc falloir déconstruire les croyances limitantes et arrêter d’adhérer aux vieux modèles afin de les laisser s’effondrer sur eux-mêmes.
Il ne suffit pas de se ramener d’un état de mal-être à un état neutre pour réactiver les facultés du corps à la régénération cellulaire.
En étant heureux, nous dormons bien, et nous nous nourrissons correctement. En faisant cela, nous arrivons à maintenir l’équilibre des processus diurnes et nocturnes du corps, à savoir d’une part, l’alimentation en énergie pour vivre le jour, puis la régénération de nos cellules pendant la nuit. En respectant ces cycles, le vieillissement cellulaire est ralentie de manière significative, permettant d’atteindre une longévité bien au-delà des 100 ans.
Notre culture et nos vies sont basées sur les vérités que nous percevons au sujet de notre monde ou de nous-mêmes. Les quatre croyances fondamentales de notre monde qui, jusqu’à récemment ont été le fondement du paradigme scientifique, ont été profondément remaniées par les dernières découvertes scientifiques.
Ces piliers qui s’écroulent comprennent:
- La Physique newtonienne
- Le contrôle génétique de la vie
- La Survie du plus fort
- La Notion de l’évolution aléatoire
Il a fallu plus d’un siècle pour que le monde puisse accepter la preuve de Copernic que la terre tourne autour du soleil.
Les croyances fondamentales résistent encore parce que la plupart des gens ne veulent pas que leur vision du monde soit brisée.
Les institutions fondées sur ces piliers maintenant réfutés ont un intérêt — à savoir, leur propre survie — à maintenir les anciennes croyances en place.
Ces organisations (religion, santé, banque, etc) ne sont pas guidées par la Conscience, mais par le Profit. Donc, en bref, qu’est-ce qui les maintient en place? L’argent.
Ces institutions ont été fondées pour soutenir, améliorer et compléter la structure de la civilisation fondée sur les croyances en vigueur. Il fut un temps où ces croyances ont bien répondu aux questions fondamentales, mais leurs réponses ne sont plus adaptées.
La Nouvelle Science nous le dit, la vie fonctionne comme un tout entremêlé, et non pas comme une sommes de parties distinctes formant une machine.
Sommes-nous à la veille d’une métamorphose planétaire ? Comment décririez-vous cette métamorphose ?