Nirva-qui? Nirva-quoi? Nirva-moi… Nirvana !
Et bien, je me retrouve totalement dans:
- Carl Jung (La Synchronicité),
- Les sept principes hermétiques (Le Kybalion),
- Nietzsche (Ainsi parlait Zarathoustra),
- Steiner (l’Antroposophie),
- le chamanisme
et donc dans la tradition originelle: ces thèmes constants, ces vérités et ces récurrences présentes dans toutes les religions du monde, passées comme présentes. Pour Aldous Huxley, c’est La philosophie éternelle.
Je crois en la roue de la réincarnation, au Karma; même au Nirvana…et m’y prépare d’ores et déjà !
Le blog Autothérapeute est le fruit de la lecture de centaines de livres et articles, du visionnage de miliers de vidéos / documentaires / conférences en ligne autour du développement personnel, mais aussi de la prise personnelle d’expérience par la pratique de techniques diverses et variées de bien-être et de guérison spirituelle (jeûne intermittent et thérapeutique, auto-hypnose, reiki, etc).
Est aussi né Le guide d’utilisation, qui est une “recette bien-être” concoctée pour moi-même, par moi-même.
J’en suis maintenant donc à l’étape d’après tout ça, du coup, tu vois ;)
C’est une étape personnelle bien spécifique et particulière d’ailleurs, car totalement inattendue pour moi. Inattendue dans ses enseignements, et inattendue dans sa nature même.
Ce qu’elle est venue m’apprendre déjà est que certes, quand j’applique ma “recette bien-être” avec rigueur et régularité, je vais plutôt bien et ce, même si le monde va mal (COVID, potentielles guerre mondiale et pénuries alimentaires, inflation terrible, effondrements institutionnels, etc), mais…
Si j’ai perdu la motivation-même de continuer à vivre, ma recette n’y peut rien. Elle n’est pas magique: elle ne fait pas revenir l’envie de vivre lorsque cette dernière s’est envolée de ma vie.
J’entends dans ma tête les paroles de la chanson de Johnny “Donnez-moi l’envie, l’envie d’avoir envie…” un diamant brut de sagesse ;).
Ma recette rend la vie beaucoup moins difficile pour moi, ça c’est certain, mais je n’ai jamais rebasculé dans le bonheur ou l’euphorie. Je peux “juste”, à volonté, me sortir d’un trou qui deviendrait trop profond à mon goût, afin de me replacer dans un espace (plus) neutre.
Ce qui est étrange est que je ne suis pas suicidaire pour autant. Je le croyais, mais après de longues périodes d’analyse interne, je me rends compte qu’au fond de moi, je suis depuis longtemps dans quelque chose de plus neutre que le désire d’euphorie ou bien même d’en finir ; quelque chose de bien moins pressant que l’envie d’en finir, mais dont l’issue sera définitive dans tous les cas de figure.
Afin d’élucider cette étrangeté, j’ai eu la chance de pouvoir discuter avec un personnage bien particulier: un moine d’une tradition prenant naissance des milliers d’années avant le bouddhisme tibétain (le “Bön”).
C’est donc suite à cette discussion très récente que j’ai compris que j’en suis maintenant à l’étape où je ne suis plus dans la quête du bonheur.
Je suis dans la quête du nirvana.
Mais qu’est-ce que ce foutu nirvana vient faire dans tout ça ?
Attends, je t’explique: juste au cas où, Nirvana n’est pas que le nom du groupe de Rock Alternatif à cause duquel j’ai appris à jouer la guitare étant ado, dans les années 90. Non.
Le nirvana dont je parle sert à ne plus retomber dans la roue (devenue infernale pour moi) de la réincarnation. Alors évidemment, il est nécessaire d’abord de croire en ce concept pour vraiment me comprendre.
Tu-du-du: Les (tout aussi chers) lecteurs scéptiques sont priés de maintenir leur esprit ouvert, juste le temps de cette lecture ;).
Comprendre la réincarnation et le rôle très important qu’elle joue dans l’évolution de chaque individu incarné sur Terre, est essentiel.
Tout comme l’est le concept du karma, qui lui est totalement lié.
Reconnaître qu’on ne veuille plus se réincarner
+
faire un travail de longue haleine de nettoyage karmique
= nirvana.
Car l’évolution d’un individu, en ce qui concerne la majorité des êtres humains ayant vécu sur Terre, se fait d’incarnation en incarnation, et le karma se trimbale d’une vie à l’autre.
Le karma c’est le “sac-à-m**de” qui contient toutes ces choses qui ME sont douloureuses ou bien qui ME font peur, et qui proviennent des incarnations antérieures, tout comme de celle qui est en cours.
Il faut donc le vider ce sac, et régulièrement même. Voilà ce qu’est un nettoyage karmique. L’hypnose régréssive est souvent très efficace pour traiter un type de karma très particulier: l’enfant intérieur.
Mais dans quel but, me diras-tu? C’est du sadisme !
C’est vrai, je trouve aussi, mais nous sommes tous temporairement prisonniers de ce système qu’on le veuille ou non. La majorité des écoles traditionnelles ou des chemins initiatiques sont d’accord sur le but de la vie incarnée.
Ils se rejoignent aussi sur l’existence de dimensions subtiles, des mondes dans lesquels notre dimension physique est enchevêtrée, mais des mondes invisibles à nos organes sensoriels.
Et pour ce qui est du but de l’incarnation sur Terre, et bien, c’est juste pour que je me surpasse. A chaque fois que je surmonte une peur ou affronte une douleur ancienne (généralement logée dans mon subconscient/enfant intérieur), j’avance dans mon évolution spirituelle.
Ce qui ne me tue pas, me rend plus fort
— Friedrich Nietzsche
Un nombre n (propre à chacun) de réincarnations, peut commencer à me mettre la puce à l’oreille que ce monde est un espace officiel d’entraînement.
C’est lorsque je commence à remarquer les répétitions, les cercles vicieux, à observer et voir consciemment les mêmes types de gens ou de problèmes qui se manifestent en boucle dans mon incarnation en cours, que je commence le processus qui mène au nirvana.
Lorsque je remarque ces motifs, ces répétitions et que je commence à vouloir leur apporter une solution définitive en remontant jusqu’à la racine même du problème, alors je suis en train de grimper l’échelle de mon développement.
Alors a commencé, un processus d’éveil spirituel.
Eveil spirituel!? Là c’est trop ! Ce type est un illuminé, un fou ! J’arrête de lire cette poubelle pseudo-scientifique.
Si tu veux, mais pour moi c’est réel car c’est du vécu, et ça a commencé aux alentours de 2010, mais je n’en ai pris conscience en tant que tel, que depuis 2017 environ !
Quelle triste époque où il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé ou une croyance. ― A. Einstein
Mais revenons à nos moutons: l’étape du nirvana est celle où je me prépare à ne plus me réincarner, et où je me prépare par conséquent à la vie après (ce qui est nommé à tort) la mort; la vie dans des dimensions ethériques, subtiles, où les corps physiques et matériels “ne sont pas pris en charge” par l’environnement.
Une vie après la vie donc, dans un monde où les lois de la physique changent, car je ne suis plus muni d’une enveloppe charnelle.
La dissolution du corps est donc bien un type de mort mais, du corps physique uniquement.
Puisque je change d’enveloppe charnelle d’une incarnation à l’autre, j’ai tort, en tant que judéo-chrétien, de m’identifier à “mon” corps physique.
Il n’est clairement pas moi.
Il ne fait pas parti du soi.
Ceci vient peut-être aussi apporter un début de piste concernant le “Hard problem” scientifique de l’introuvable localisation de la conscience dans le corps humain…
A l’étape de la mort physique, seuls les corps subtils subsistent, et eux interagissent avec un environnement qui leur correspond. Ce nouvel environnement et nos corps subtils/spirituels/éthériques ont des propriétés qui régissent les interactions corps/environnement de manière unique.
Ces propriétés ont des valeurs différentes à celles trouvées dans les {dimensions et corps} physiques. Un peu comme la force de la gravité dont la valeur change selon que l’on soit sur Terre ou bien sur la Lune, ou Mars, ou Jupiter, ou…Ok, OK, j’ai capté ! Tu vas pas nous citer tous les membres du système solaire non plus ! Pas que ça à foutre, m***e !
Il faut donc s’y préparer. Pourquoi ? Parce que dans les dimensions subtiles, je me déplace à la vitesse de la pensée, ce qui est plus rapide que la vitesse de la lumière ! Ceci pourrait être un début de piste pour expliquer ce que détestait Einstein de son vivant: l’intrication quantique ou la non-localité.
Se servir de l’incarnation sur Terre permet alors, tentative après tentative, de développer le pouvoir du mental sur le corps physique.
Mais pourquoi faire nom di diou, et qu’est-ce que j’en ai a f**tre !?
Et bien parce que dans un monde spirituel, dans un monde désincarné, comme je le disais plus haut, on se déplace à la vitesse de la pensée, c’est-à-dire, instantanément.
Y maîtriser son esprit devient “juste” nécessaire afin de “juste” maîtriser le nouveau système de déplacement de nos enveloppes subtiles. Rien que ça…
Le monde physique, parce qu’il vibre et oscille très lentement, parce qu’il est dense et lourd d’atomes, permet de ralentir le temps de réponse entre la pensée, et la conséquence dans la matière. C’est comme bouger dans l’eau. Essaye de faire un mouvement brusque et tu vas voir ce qu’il se passe: il y a comme une espèce de friction, de force qui vient ralentir mes mouvements, et qui en plus semble proportionnelle à leur rapidité. Une métaphore de quand je m’obstine en me faisant violence ?
Que pourrait-il y avoir de mieux que la combinaison corps physique/expérience du monde incarné, pour s’entraîner à maîtriser son esprit ?
Telles des roues stabilisatrices dont on fait usage quand on apprend à faire du vélo, la Terre (couplée au système de réincarnation, de karma, et aux enveloppes physiques pour s’incarner), est un lieu dit “bac-à-sable”: il sert à m’entraîner. “C’est une piscine pour ré-éducation”.
C’est un endroit qui me permet de prendre le temps, de réfléchir à ce que je vais faire avant de le faire, puis le temps d’observer pour en constater les conséquences dans la matière, dans le monde des atomes, une fois l’action lancée.
Les ondes provoquées peuvent servir à interagir, peu importe l’échelle, la dimension (voir plus bas, infographie “Echelles, dimensions et situation dans le spectre électromagnétique”).
La Terre est une sorte de simulateur. Des gens très performants comme Elon Musk contemplent très sérieusement l’idée que toi et moi vivions dans une simulation.
La vie serait une sorte de jeu vidéo dans lequel le nombre de vies est illimité
Et non seulement ça c’est cool, mais ça tombe bien: selon la majorité des traditions millénaires, la Terre est un exemple parmi tant d’autres de lieux physiques existant dans les 3e et 4e dimensions, et existant dans le seul et unique but de former les âmes encore trop jeunes.
Mais trop jeunes à quoi ? Et bien, trop jeunes pour avoir déjà atteint la maîtrise de la force qui fait du corps, un miroir du conscient.
Le placebo donc.
Placebo / Nocebo: le processus par lequel le code génétique peut être redéfini. Ce code est une translitération de l’état d’esprit plus ou moins conscient ou même complètement inconscient, en des chaînes de charactères; ce code est un résultat des logiciels qui tournent en tâche de fond dans mon subconscient.
Tant que le corps est le miroir du subconscient, du subliminal, l’âme est toujours dans le nocebo et plus le temps passe, et plus l’enveloppe charnelle manifeste des douleurs, des malêtres psychosomatiques, puis des maladies d’abord aigües, et si on traîne trop à les traiter à la racine, alors des maladies chroniques.
Comme le mot latin limen signifie “seuil”, quelque chose de “sub”-”liminal” existe juste en dessous du seuil de la conscience.
Le rôle des maladies (entendons le “mal a dit” en langage des oiseaux) ou même celui des symptômes, est celui d’alerter qu’il y a du pain sur la planche; qu’y’a du karma à tailler en rondelles!
Faut les écouter, ce sont des sages. Faut arrêter de s’acharner à supprimer les symptômes qui sont mes amis, tel que j’en ai pris l’habitude avec la pratique de la médecine allopathique. Evidemment, dans le cas où je me trouve à un stade avancé de quelconque pathologie, il ne faut pas abandonner mes traitements allopathiques en cours.
Il est plus sage “d’ausculter”, en complément à l’approche allopathique, ces symptômes avec le “stéthoscope” de la médecine hollistique et s’en servir pour débusquer ce qui se niche dans mon subconscient.
Le wifi, le bluetooth sont bien imperceptibles à nos sens mais sont malgré tout bien réels.
L’armée américaine a un usage de l’invisible sans technologie plus que réel et pratique: le “remote viewing” ou “la vision à distance” (voir le PDF hébergé sur le site de la C.I.A, aussi intégré au billet l’esprit sans limite).
Echelles, dimensions et situation dans le spectre électromagnétique
C’est là, grâce aux dizaines de milliards de nano-imprimantes 3D que sont chacune des cellules qui composent l’enveloppe charnelle dans laquelle “je me trouve” actuellement, que cette incroyable cotte de mailles organique et vivante, dynamique, répondant au quart de tour, devient soudain, le reflet permanent de mes croyances les plus inconscientes, mais que j’ai choisi consciemment cette fois d’enfouir.
En effet, j’ai appris à percevoir “mes” cellules comme des imprimantes miniatures qui s’alimentent du code génétique généré lors d’un processus de placebo/nocebo. Elles impriment “mon corps”, ce voyou, ce faussaire, cet…holo…gramme !
Il s’agit de la fameuse reprogrammation subliminale.
Cette fois je suis l’administrateur système, je suis celui qui décide des applications qui ont le droit de s’installer dans mon subconscient.
Le fait que le code génétique soit recomposable est étudié par la science de l’épigénétique (épi: au-delà de la génétique héritée).
Tant que je ne me réveille pas à cela, je reste une âme destinée à se réincarner, une âme jeune.
Par conséquent, ici sur Terre, nombreuses sont les âmes loin d’être prêtes à acceder aux dimensions non-incarnées où le déplacement se fait par sauts de puce, par une sorte de télétransportation immédiate et donc sans aucun délai (l’analogie avec le “quantum leap” des electrons est séduisante).
Exactement comme cela c’est produit avec le cerveau où il était formellement défini que ce dernier ne pouvait pas être recomposé par de nouveaux neurones une fois ce “capital” eût été perdu (par le temps qui passe, le manque de gymnastique mentale, et/ou l’usage de substances “neuronicides”), l’épigénétique me permet de savoir aujourd’hui avec certitude que je n’ai jamais été condamnés par les gênes hérités de mes ancêtres (oui car cet héritage va bien au-delà des simples parents immédiats) ni de ceux liés à une contamination environmentale (pollution de l’air, de l’eau, des aliments par des nanoparticules que le corps ne sait pas éjecter, etc).
la maîtrise du placebo = La maîtrise de mon esprit
Mots de la fin
Telle que la vie In Utero est une étape de dévoloppement, la naissance, puis la vie et enfin la mort physique, en sont aussi.
A elles, ces étapes constituent 1 cycle de la roue de la réincarnation, sorte de roue d’hamster qui me fera tourner en bourrique tant que je n’aurai pas compris qu’elle ne mène nulle part.
C’est une espèce de mécanisme qui permet de se taper la tête contre les murs, de remettre les mains dans le feu même si ça brûle, et cela, pendant autant de temps que je le désire, c’est-à-dire, tant que je ne désire pas faire consciemment face à mes maîtres.
Oui, car les problèmes, les obstacles, les peurs, les phobies, les choses ou les gens qu’on n’aime pas, dans ce contexte précis du bac-à-sable et de la vie sur Terre, sont TOUS des maîtres, des guides à part entière.
Un beau jour, je prends conscience de l’impasse dans laquelle je me trouve, et je remédie au(x) problème(s) répétitif(s), un à la fois.
J’avance.
Puis au bout de plusieurs cycles (réincarnations), je vois que les problèmes à venir sont devenus totalement prédictibles pour moi; bin oui, à force de répétitions ! C’est comme un bon musicien, ça passe des heures à ré-pé-ter !
Ça y est, je suis prêt: c’est ma dernière incarnation (de manière volontaire en tout cas !).
J’en suis à vouloir atteindre l’étape du Nirvana parce que je la comprend, mais surtout, j’en ressens l’utilité.
Et c’est alors que je me prépare à bien mourir. C’est du pur bouddhisme entre toi et moi.
Cette fois-ci, plutôt que de m’acharner à bien vivre selon des critères occidentaux/judéo-chrétiens, je vais tâcher de bien mourir selon des critères ancestraux: en toute dignité, en pleine santé physique, en pleine conscience, et quand je l’aurai décidé. Et bien-entendu, j’accepte par avance toute mort survenant avant cette date (qui reste d’ailleurs à determiner, mais c’est encore beaucoup trop tôt pour cela, c’est tout ce que je sais).
Ainsi, la transition consciente vers la vie dématérialisée est plus “smooth”, plus “chill”. Hé, mais tu fais chier avec ton anglais !
Je vis alors enfin comme si cela allait être la dernière fois, la dernière vie matérielle, la dernière mort physique.
Et tout prend alors un goût nouveau.
Je n’attends plus rien de mauvais ni de bons.
Je cherche juste à rester dans la neutralité.
Ceci vient renverser la tendance jusqu’ici: prendre enfin les devant pour une fois, histoire de ne plus “juste” subir en permanence les aléas de la vie.
Ainsi, la vie n’est plus vécue comme celle d’un bateau qui naviguerait là où le courant et les tempêtes l’emmènent, mais enfin comme celle d’un capitaine de bord qui sait exactement où il va, et surtout, pourquoi...
P.S. : en navigation, le changement de cap d’un seul degrée peut avoir de fortes conséquences sur la géolocalisation du port d’arrivée. Le bon capitaine du coup ne change de cap, qu’un degrée max à la fois.