Très bonne question. Ces billets vont sûrement y apporter un peu de lumière :
- Guide pour manger et boire pendant le jeûne intermittent (lire depuis la section “Puis-je manger ou boire pendant le créneau à jeun?” jusqu’à “Boissons à éviter” inclus)
- Thé et Jeûne Intermittent : le mariage parfait
Personnellement :
- j’opte pour des bouillons le soir en hiver/automne (donc juste l’eau de la cuisson des légumes) et ai laissé de côté le thé à cause de ses propriétés excitantes (et parce que ça tâche les dents)
- en printemps/été, je favorise l’eau et toutes sortes d’infusions ; des mélanges riches en lavande, hibiscus, écorces d’orange, roobios) dont l’odeur me fait profondément plaisir — pour le côté aromathérapie — se nourrir par l’odorat, respirer le Prana. Voir la section Respiration d’Auto Thérapeute pour réapprendre à respirer, qui la source de nourriture que nous prenons pour acquis — l’erreur serait de sous-estimer la puissance nutritive de la respiration en pleine conscience.
Enfin, il est bien connu que ce que nous confondons souvent pour de la faim est en réalité une déshydratation qui se règle avec de la respiration et un bon verre d’eau/tasse(s) d'infusion. La véritable faim physiologique se fait rare dans nos sociétés, et est donc mal identifiée la plupart du temps. En gros, la véritable faim se manifeste par des intestins qui couinent. Le reste du temps, c’est du chien de pavlov.
Le bonheur est alors de savoir que si nous n’ingérons rien à ce moment précis de faim véritable, alors le corps déclenchera la cétose (la graisse devient source de nourriture), puis l’autophagie (les déchets cellulaires dans les émonctoires — en priorité — deviennent source de nourriture). La magie de la réparation naturelle du corps peut alors opérer, telle qu’elle a été conçue, et ce, sans que cela ne coûte le moindre centime…
Evidemment, tout ce dont je parle sur ce blog est applicable aux adultes strictement.